George n’avait aucune crainte lorsqu’il a passé son bilan annuel de santé. Il avait toujours été relativement en bonne santé. Aussi, il ne s’est pas beaucoup inquiété lorsque son taux d’antigène prostatique spécifique (APS) a commencé à grimper. Son médecin de famille l’a toutefois envoyé voir le Dr Brian Blew, urologue à L’Hôpital d’Ottawa, qui lui a fait passer une biopsie. Le diagnostic fut brutal : cancer de la prostate. George a ainsi entamé un combat qu’il n’avait jamais anticipé pour recouvrer la santé, avec l’appui d’une équipe exceptionnelle de médecins, d’infirmières et de radiothérapeutes. Aujourd’hui, plus d’un plus tard, George est fier de faire un don mensuel à l’Hôpital. Il est déterminé à redonner au moyen de la philanthropie et du bénévolat pour aider d’autres patients.
Le choc de la nouvelle
En avril 2019, George revenait d’un voyage au Mexique avec son épouse Maria lorsqu’il a appris que sa biopsie révélait un diagnostic de cancer de la prostate. Comme son taux d’APS avait toujours été élevé et que la récente hausse pouvait très bien être attribuable au vieillissement, il a été stupéfait d’apprendre qu’il avait le cancer. Le Dr Blew lui a proposé deux options : retirer la prostate par chirurgie ou recevoir des traitements de radiothérapie. George, qui tenait à agir rapidement, a jugé que la radiothérapie lui offrait les meilleures chances. « Je voulais m’y attaquer immédiatement. J’ai donc commencé rapidement les traitements de radiothérapie. J’en ai reçu 20 en tout. Je m’estime très chanceux, car certains hommes doivent en recevoir davantage », précise George.
« Nous avons un joyau rare ici, à Ottawa. En donnant, je sais que j’aide les prochains patients à recevoir d’excellents soins comme ceux qui m’ont guéri. » – George Knight
Des soins empreints de compassion
George est reconnaissant de l’accès rapide aux traitements et de la façon dont le personnel a pris soin de lui. « J’ai obtenu d’excellents soins de tous les médecins – les Drs Blew, Haddad et Bourque – ainsi que de l’ensemble du personnel infirmier et des radiothérapeutes. Ils ont tous été formidables. Je n’aurais pas pu demander mieux ». Ses inquiétudes étaient tout à fait compréhensibles, mais son équipe de soins l’a rassuré.
Depuis qu’il s’est remis de la radiothérapie, George se sent mieux que jamais. Il a repris ses nombreux loisirs et il est de retour aux côtés de Maria dans le studio de yoga deux fois par semaine. « Je me sens au sommet de ma forme – mieux que je me suis senti depuis longtemps. J’ai plus d’énergie et mes taux d’APS sont redescendus dans un intervalle acceptable. Je suis chanceux. Je me porte à merveille. »
« Les dons de George nous aideront à continuer de mettre au point les meilleurs outils d’évaluation et de traitement. » – Dr Blew
Il estime que ce sont les excellents soins qui l’ont aidé à se rétablir et il souhaite que son expérience encourage d’autres hommes à passer des tests de dépistage. « Nous avons découvert mon cancer à un stade précoce, ce qui a fait une énorme différence. Aujourd’hui, j’encourage fortement mes amis de plus de 50 ans à faire un dépistage. Ils hochent bien souvent de la tête, mais c’est important parce qu’on peut avoir un problème de santé sans présenter de symptôme », ajoute George.
Le Dr Blew abonde dans le même sens. « M. Knight était très bien renseigné sur le dépistage par l’APS. Il savait qu’un taux élevé d’APS n’est pas toujours causé par le cancer de la prostate et qu’il faut approfondir l’examen pour déterminer s’il faut traiter ou seulement surveiller. Les dons de George nous aideront à continuer de mettre au point les meilleurs outils d’évaluation et de traitement. »
La gratitude à l’action
Les soins dont il a bénéficié ont aussi inspiré George à devenir bénévole à l’Hôpital. « J’ai vu une citation de Jim Rohn en ligne : “C’est seulement en donnant qu’on peut recevoir davantage que ce que l’on a déjà”. Ça a touché une corde sensible en moi. C’est pourquoi je dois redonner. » C’est ainsi qu’il a décidé de devenir donateur mensuel. « J’ai fait confiance à l’Hôpital pour rétablir ma santé et maintenant je lui fais la même confiance pour gérer mes dons. Je veux que l’Hôpital ait un soutien régulier. Nous avons un joyau rare ici, à Ottawa. En donnant, je sais que j’aide les prochains patients à recevoir d’excellents soins comme ceux qui m’ont guéri. »
Fièrement affilié à l’Université d’Ottawa, L’Hôpital d’Ottawa est un centre de recherche et de santé universitaire de premier plan.