Publié : mars 2024

Rupert à l'Hôpital d'Ottawa

La vie de Rupert Bonham-Carter, ancien cadre de Cognos, a pris un tournant inattendu lors d’une visite en Floride, lorsqu’une chute lui a causé une luxation de l’épaule. Après s’être fait déplacer l’épaule dans un hôpital de Floride loin de chez lui, Rupert a écourté son voyage et est rentré à Ottawa – et à l’Urgence du Campus Civic où une opération de l’épaule a été planifiée.  

Mais sa deuxième visite, quelques jours plus tard, a pris une tournure beaucoup plus urgente après que sa situation s’est aggravée. 

De retour à l’Urgence, Rupert se souvient qu’il était soudainement en détresse et qu’il avait du mal à respirer. Une infirmière de triage vigilante l’a immédiatement installé sur un brancard et les médecins ont découvert qu’il souffrait d’un pneumothorax massif (un affaissement) au niveau du poumon droit. Pendant 12 jours, il est resté sous les soins de l’équipe de traumatologie du Campus Civic, subissant un traitement qui a sauvé son poumon ainsi qu’une opération de l’épaule. 

Un lien profond avec L’Hôpital d’Ottawa

« J’ai levé les yeux et j’ai vu le logo de Cognos sur une plaque de reconnaissance. À ce moment-là, j’ai eu l’impression d’avoir fait le tour de la question. »

— Rupert Bonham-Carter

Le lien entre Rupert et L’Hôpital d’Ottawa est profond, puisqu’il s’étend sur plus de vingt ans d’événements marquants de la vie et d’urgences médicales. « J’y suis allé souvent dans ma vie. J’ai perdu un doigt dans un accident, et L’Hôpital d’Ottawa était là pour s’occuper de moi. Mes enfants y sont nés et on m’a retiré ma vésicule biliaire en urgence. L’Hôpital d’Ottawa a été là pour moi au cours des 25 dernières années. » 

Mais ce jour-là, lorsqu’il a été admis, Rupert a éprouvé un profond sentiment de réconfort alors qu’il était transporté dans l’Urgence. 

« J’ai levé les yeux et j’ai vu le logo de Cognos sur une plaque de reconnaissance. À ce moment-là, j’ai eu l’impression d’avoir fait le tour de la question. Je faisais partie du groupe de Cognos qui avait recueilli des fonds pour la Campagne Héritage de L’Hôpital d’Ottawa il y a plusieurs années. En voyant ce logo, je me suis senti réconforté, et j’étais nostalgique de la communauté de Cognos et des efforts que nous avions déployés pour soutenir l’hôpital. » 

Inspiré, une fois de plus, à donner en retour

«  L’Hôpital d’Ottawa est le nôtre. Il appartient à la communauté et nous avons la responsabilité, en tant que communauté, d’en prendre soin. »

— Rupert Bonham-Carter

Le fait de voir la plaque Cognos soulignant la contribution passée de l’entreprise a non seulement réconforté Rupert, mais l’a également incité à s’impliquer personnellement dans la campagne Créons des lendemains. « Au cours de ma plus récente expérience, il m’est apparu clairement que L’Hôpital d’Ottawa est le nôtre. Il appartient à la communauté et nous avons la responsabilité, en tant que communauté, d’en prendre soin. » 

C’est avec ce sentiment à l’esprit que Rupert a décidé de se joindre au cabinet de la campagne, et il aide à inspirer la communauté à soutenir la plus grande campagne de financement de l’histoire d’Ottawa. Avec un objectif de 500 millions de dollars, la campagne Créons des lendemains est une occasion unique de transformer les soins de santé en portant la recherche à un niveau sans précédent et en construisant l’hôpital de recherche le plus avancé technologiquement au pays.  

Rupert a reconnu le potentiel de la campagne et s’est senti plus motivé que jamais pour apporter sa contribution. « Si je n’étais pas sûr avant cette expérience, je l’étais après. L’Hôpital d’Ottawa et son personnel étaient là pour moi, et je savais que je devais faire quelque chose. J’ai donc participé à la première collecte de fonds et j’ai fait un don. Maintenant, ce que je peux faire, c’est essayer de motiver d’autres personnes à faire un don. » 

Le don de Rupert est destiné à soutenir la campagne Créons des lendemains, qui contribuera à financer le nouveau campus hospitalier.