Il y a maintenant près de 60 ans que la famille Tod compte sur le soutien de L’Hôpital d’Ottawa.

Au fil des ans, les médecins de L’Hôpital d’Ottawa ont traité la famille pour un éventail de maux, des amygdalites aux appendicites en passant par les commotions cérébrales, les foulures et les coupures. C’est là que Charles a fait ajuster ses prothèses auditives et que Melanie a subi une intervention d’exploration. C’est aussi là, plus récemment, que Maureen a été traitée pour une suite de mini-AVC qui avaient occasionné plusieurs chutes.

Les Tod n’étaient pas les seuls à profiter de la proximité de l’Hôpital : il n’était pas rare que des amis qui subissaient des traitements s’arrêtent à la maison pour y boire une réconfortante tasse de thé.

Peu importe ce qui n’allait pas, les Tod savaient que L’Hôpital d’Ottawa était l’endroit où se rendre pour obtenir des soins de calibre mondial.

N’ayant jamais été du genre à recevoir sans donner au suivant, Maureen s’est proposée comme bénévole à la boutique de cadeaux. Elle est aussi devenue donatrice et a inspiré sa fille Melanie à faire de même. Il était donc tout naturel pour Maureen d’inclure un legs à L’Hôpital d’Ottawa dans son testament.

« Ce sera utile pour permettre aux gens d’avoir accès aux soins. À près de 90 ans, je n’ai pas eu beaucoup recours aux services de soins de santé, mais quand j’en ai eu besoin, on s’est bien occupé de moi, et je me porte encore bien. Je veux transmettre cela. »

– Maureen Tod


Fièrement affilié à l’Université d’Ottawa, L’Hôpital d’Ottawa est un centre de recherche et de santé universitaire de premier plan.

Kathleen est née à Kemptville, en Ontario, en 1906. Ses affinités pour les enfants, évidentes dès son plus jeune âge, l’ont poussée à obtenir son certificat d’enseignement en 1925.

Diplôme en main, Kathleen est devenue institutrice dans une petite école d’une seule classe, remplie d’élèves de la 1re à la 8e année. Pendant deux ans, elle s’est consacrée à former ces jeunes esprits et à leur transmettre des valeurs telles que la compassion, le sens du devoir et l’entraide.

Comme son vif intérêt pour l’enfance n’a fait que grandir durant ces années, Kathleen a décidé de le pousser un peu plus loin. Elle a déménagé à Guelph, où elle a décroché un diplôme en économie domestique en 1929 qui lui a permis de travailler comme diététicienne à l’Hôpital pour enfants malades de Toronto.

Kathleen trouvait son travail exigeant, mais aussi profondément gratifiant. Voir des bambins malades souffrir lui brisait le cœur, mais c’est aussi ce qui la motivait à faire de son mieux pour les réconforter autant que possible.

Elle n’a jamais oublié le sentiment d’injustice qu’elle ressentait devant ces enfants qui faisaient face à un tel désavantage, ces jeunes vies pleines de promesses ravagées par la maladie. C’est ce qui l’a inspirée à faire un don par testament pour financer la formation des infirmières qui souhaitent se spécialiser en soins néonataux.

Kathleen a consacré sa vie à aider les générations futures à s’épanouir. Son legs durera pendant des décennies grâce à son don par testament à L’Hôpital d’Ottawa.


Fièrement affilié à l’Université d’Ottawa, L’Hôpital d’Ottawa est un centre de recherche et de santé universitaire de premier plan.

Voici Annie.

Annie et Hernan sont arrivés à Ottawa avec deux valises, un bambin et 500 $ en poche.

Annie est devenue directrice financière de La Fondation de l’Hôpital d’Ottawa. Au fil des ans, elle a constaté l’importance des soins qui sauvent des vies : lorsqu’un virus rare s’est attaqué à ses reins, l’obligeant à subir des traitements de dialyse, les médecins de L’Hôpital d’Ottawa l’ont remise sur pied. C’est aussi là qu’Hernan a reçu, avec succès, une greffe de la cornée.

« J’ai remarqué qu’un nombre croissant d’habitants d’Ottawa et des environs faisaient des legs testamentaires à L’Hôpital d’Ottawa. Même si ce type de don n’attire généralement pas tellement l’attention, j’ai appris qu’il s’agissait d’une source majeure de revenus pour la recherche clinique, l’achat d’équipement médical et la prestation de soins de calibre mondial. »

Quand Annie s’est remise de sa maladie rénale, le couple a décidé d’inclure un legs à L’Hôpital d’Ottawa dans sa planification successorale.

Ils y ont peu repensé jusqu’en 2015, lorsqu’Hernan a reçu un diagnostic de cancer du appendiculaire (ou cancer de l’appendice, une forme très rare de cancer). L’Hôpital d’Ottawa a été là pour eux une fois de plus. Même si Hernan a lutté du plus fort qu’il pouvait, il a été tragiquement emporté par la maladie.

Bien qu’elle s’ennuie terriblement d’Hernan, Annie fait de son mieux pour profiter pleinement de la vie, comme il l’aurait voulu. Elle sait en outre que grâce à leur legs testamentaire, la bonté et le sens de la communauté de son mari sont toujours bien présents.

« Lorsque je repense à ma vie, je nous vois comme une équipe, Hernan et moi. Nous avons tellement bâti et nous laisserons tellement. Nous avons eu de beaux enfants brillants. Nous avons travaillé dur au service d’autrui. Notre legs testamentaire à L’Hôpital d’Ottawa contribuera à ce que les générations futures reçoivent les meilleurs soins possible quand elles en auront le plus besoin. »


Fièrement affilié à l’Université d’Ottawa, L’Hôpital d’Ottawa est un centre de recherche et de santé universitaire de premier plan.

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